antinucléaire*

Ébauche d’une anthologie de prose antinucléaire


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Le 11 mars 2011 un tsunami ravage la côte nord-est du Japon. Les jours suivants, trois réacteurs explosent dans la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi. À cette catastrophe s’en est ajoutée une autre : la gestion gouvernementale du désastre. Loin d’être un « accident » désormais « sous contrôle », le drame se poursuit par mille conséquences plus ou moins visibles : pollution, déplacements de populations, bouleversement des intimités. À travers le récit de six activistes japonais, ce livre tente de penser autrement le désastre nucléaire. Un phénomène qui remet en cause la texture même de la matière doit, aussi, être abordé comme une catastrophe métaphysique.

Collection : Cahiers d’enquêtes politiques
Format : 13 x 18 cm / 192 pages
Papiers Invercote G 1 face 200g et Munken cream 80g

Sommaire / Introduction
Retour au Japon
Hoshano
Journal d’une cervelle radioactive
Quitter Tokyo
Mon espoir… que nous restions enragés, ensemble, plus que jamais
Petits dysfonctionnements d’un appareillage planétaire
L’appel de Kyūshū
Épilogue : Décomposer le monde, redécouvrir la terre

leseditionsdesmondesafaire.net/fukushima-ses-invisibles


https://redirectiondivergences.com/wp-content/uploads/2021/01/Couc-Sabu.jpg

Des villages côtiers emportés par un tsunami, des réacteurs qui crachent des champignons atomiques, des populations déplacées par milliers, un quotidien hanté par la peur du becquerel: voilà ce que fut le désastre nucléaire de Fukushima au Japon. Radiations et révolution s’intéresse à la portée à la fois nationale, géopolitique et historique de cet événement. Pour Sabu Kohso, la catastrophe est à replacer dans le contexte d’un conflit entre la marche destructrice de l’économie mondiale, et les forces humaines et terrestres qui tentent de survivre et vivre. L’écrivain japonais réussit le tour de force de porter les mémoires de ces « vies-en-lutte », tout en retraçant les dynamiques politiques qui ont lié le destin du pays à l’énergie atomique dans les années d’après-guerre. Selon lui, l’Anthropocène est l’âge de la radiation: radiations nucléaires et irradiation des luttes. Un âge où il ne s’agit plus seulement de savoir Que faire ? mais aussi Comment vivre ?

Traduit de l’anglais par Philippe Blouin.

SABU KOHSO est écrivain, éditeur, traducteur et activiste. Il vit entre New York et le Japon et a écrit plusieurs livres publiés au Japon et aux Etats-Unis traduits dans plusieurs langues dont Fukushima et ses invisibles (aux éditions des Mondes à faire). Il a traduit de l’anglais au japonais des ouvrages de David Graeber (Fragments of an anarchist anthropology et Debt: The First 5000 Years) et de John Holloway (Crack Capitalism). Il a aussi traduit du japonais à l’anglais des travaux théoriques de l’architecte Arata Isozaki (Japanness in Architecture) et des essais du philosophe et critique littéraire Kōjin Karatani (Architecture as Metaphor et Transcritique).

editionsdivergences.com/livre/radiations-et-revolution


« Il est possible de mener une vie normale » dans les zones contaminées par la radioactivité, assure le ministre japonais de la Reconstruction, huit ans après l’accident nucléaire majeur de Fukushima. Ce discours de « normalisation », qui vise à minimiser le risque nucléaire et les conséquences d’un accident n’est pas l’apanage des autorités japonaises : on le retrouve en France depuis le lancement du programme nucléaire ou en Biélorussie après Tchernobyl. Sezin Topçu, historienne et sociologue des sciences, décrypte cette stratégie de communication, qui accompagne des politiques exonérant les exploitants de centrales nucléaires de leurs responsabilités. Entretien avec Nolwenn Weiler.


C.A.R.N. = Citizens Against Radioactive Neighbourhoods

We are a local nonprofit organization created to stop BWXT from manufacturing uranium oxide pellets in downtown Peterborough.

Industrial processes that carry significant risks do not belong in residential areas – just metres away from a public school.

Industrial processes that carry significant risks should be subject to full environmental assessments and demand the full scrutiny of public attention.

Good Neighbours Don’t Make Radioactive Pellets + Nuclear Myths & Facts

CMD18-M47-A

Health_effects_and_radiation_protection_summary_2017


Comité Centrales, Des terres, pas du nucléaire : Enquêter, s’opposer, se relier, 2020.


Whiteshell Laboratories

The Whiteshell Laboratories, originally known as the Whiteshell Nuclear Research Establishment, or WNRE for short, was an Atomic Energy of Canada (AECL) laboratory in Manitoba, northeast of Winnipeg. It was originally built as a home for the experimental WR-1 reactor, but over time came to host a variety of experimental systems, including a SLOWPOKE reactor and the Underground Research Laboratory to study nuclear waste disposal. Employment peaked in the early 1970s at about 1,300, but during the 1980s the experiments began to wind down, and in 2003 the decision was made to close the site. As of 2017 the site is undergoing decommissioning with a planned completion date in 2024.