ailleurs

Au centre, de tous les côtés

Texte à propos de la programmation 2024-25 Méthodes et jeux de l’espace : zones d’existence I, Dare-Dare, centre d’artistes, 2025.

pubnum_apiral_dare-dare24-25

Petit registre de formules

Compte-rendu de la publication de Catherine Lalonde Massecar, Inter 146, 2025.

Inter146_APiral_RegistreMassecar

Ensemble, dans la banlieue, en plein jour, avez-vous peur ?

Compte-rendu de l’exposition Se limiter au maximum par Marc-Alexandre Reinhardt, Maude Veilleux, Simon Brown et Pavel Pavlov, AXENÉO7 (Gatineau), 13 septembre au 19 octobre 2024. Vie des Arts 277, printemps 2025.

VDA_Selimiter2025

Un art indiscipliné comme thérapie communautaire : Club Ami à la Maison de la culture Côte-des-Neige

16 mars au 30 avril 2023, en collaboration avec A-M Trépanier, Vie des Arts 272, automne 2023.

VDA272_Le-Club-Ami-a-la-Maison-de-la-culture-Cote-des-Neige.-Un-art-indiscipline-comme-therapie-communautaire-2023

M for Leviathan

Texte pour l’exposition de Michael Eddy, Centre Clark, Montréal, 18 mai au 27 juin 2023.

«Avec M for Leviathan, Michael Eddy nous invite à considérer l’inassimilable et l’intraitable; ce qui, dans la production et l’existence humaine, demeurera indigeste aux systèmes de capture du capital numérisé. Ce quelque chose qui ne rentrera ni de gré ni de force dans la machine, impossible à décomposer en renseignements quantifiables et reproductibles, car trop extraordinaire. (…) Ce n’est pas tout à fait l’Enfer, mais on dirait quand même qu’il est en construction quelque part par ici.»

Est-Nord-Est

Résidence d’écriture à Saint-Jean–Port-Joli, février-mars 2022, puis à l’hiver 2023.

→ Vincent Larouche : conversation autour de l’exposition Ocelle

Avec Lisa Tronca et Caroline Andrieux, Fonderie Darling, 31 mars 2021.

Utilisation de l’outil d’image de reconnaissance visuelle Google Lens, montage audio.

FD : 20 ans + 1 siècle

Texte et recherche pour exposition patrimoniale à propos de la Fonderie Darling, mars à décembre 2022.

Fonderie-Darling-20-ans-1-siecle-PHASE-1-2-3_optimize

nos intimités confinées

Conversation avec arkadi lavoie lachapelle, Eden Fournier et AM Trépanier, Verticale, centre d’artistes, 18 février 2021.

«Nos modalités d’existence ont été structurellement mises à l’épreuve au cours de la dernière année, et cette discussion collective souhaite se faire l’écho des moyens qu’il nous a fallu inventer par nécessité, afin de faire face et maintenir les lieux de care et de création. À travers une exploration en ligne des questions d’intimité, de présence et d’absence en contexte pandémique, les invité·e·s et les participant·e·s aborderont certaines approches thérapeutiques, artistiques et communautaires imaginées pour prendre soin de soi et des autres, s’accommoder de limites imposées et trouver des plaisirs à l’intérieur de cadres et rythmes en changement.»

Construire un nouveau Nouveau Monde. L’amerikanizm dans l’architecture russe

Compte-rendu d’exposition au Centre Canadien d’Architecture, 13 novembre 2019 au 26 juillet 2020, esse 100, Montréal, septembre 2020.

Amerikanizm-esse100-APiral

Ce qu’il restera de communautés à l’oeuvre

Texte pour le portfolio de Guillaume Adjutor-Provost, avec AM Trépanier, Spirale 170, Montréal, édité par Katrie Cagnon, novembre 2019.

950 exemplaires

Spirale270_Portfolio-1

Monuments aux victimes de la Liberté

AXENÉO7/Galerie UQO, Gatineau. Exposition (2015) et livre (2019) par les Entrepreneurs du commun : François Lemieux, Bernard Schütze, Mélanie Boucher, Erik Bordeleau, André-Louis Paré, avec A-M Trépanier.

Site web collaboratif réalisé pour l’exposition + campagne d’affichage

500 exemplaires

Monuments-aux-victimes-de-la-liberté-2019

médiation, nouvelle alliance

Cigale 1 : Le corps au travail, Montréal, 2019. édité par Laure Bourgault et AM Trépanier.

120 + 80 exemplaires

PIRAL_Mediation-nouvelle-alliance_2019-1

«Il me faudra être le truchement nécessaire à mon propre examen, nourrir ma critique personnelle comme institutionnelle, et surtout ne pas médire, ne pas faire trop impression car, petit maître involontaire, dans l’espace je conditionne, et me rappelle que toujours il sera odieux de suivre autant que de guider.»

Jeu vidéo et art actuel

Vie des Arts 255, Montréal, été 2019.

4000 exemplaires

VDA255_MomentaGalerie_Automne2019-1

Je ne reviendrai pas à Montréal : Violence politique et exils de Franco Piperno et Jacques Lanctôt.

Exils, Québec, et la formation de la gauche, journée d’étude de Stasis : groupe d’enquête sur le contemporain, Association des travailleurs grecs de Montréal, 22 mars 2019.

Les memes et l’argent : trajectoire lunaire du dogecoin

Meme-Colloque, AL/NT2 et l’Observatoire de l’imaginaire contemporain, Université du Québec à Montréal, février 2018.

espaces clos / L’Astrapeios, porteur de foudre

Résidence d’écriture, Musée régional de Rimouski, édité par Laure Bourgault et Marie-Michèle Beaudoin, mai 2017.

100 exemplaires

Version longue et modifiée

Publication-Musée-régional-de-Rimouski-2017

«Sous l’égide du Tout-Puissant, ceux-ci trafiquent dans le commerce de l’intime, jamais dans le libre-échange. Depuis un pays fait de villes volontaires, dont les fondatrices savaient couper les chemins entre ciel et terre, cette église parallèle, moderne parfois dans sa pensée d’un autre temps, bien loin de soigner les détresses humaines les creusaient irrémédiablement. Ces faux médiateurs travaillant à la pénétration des coeurs diffusaient une âcre odeur de sainteté, créateurs d’enfants sauvages pris trop jeunes dans les ordres, gardiens d’une communauté illuminée à jamais prise dans l’ombre des cloîtres : ici, comme ailleurs, c’est le silence qui perd le monde.»

Fuir, se taire, se reposer

Résidence à l’abbaye de Val-Notre-Dame, [AC3] Architecture Concordia 3, Montréal / Saint-Jean-de-Matha, mars 2017. avec AM Trépanier.

200 exemplaires

Texte_AC3_APiral_AMT_2017

3 JOURS / 3 DAYS

Résidence artistique et cycle de conférences Beyond Spectacle / Spectre of Fascism, Simon Fraser University, Vancouver et Montréal, mai 2016. commissariat par Benjamin J. Allard.

« Le tracé incertain du détroit de Fuca séparait au grand large et selon le principe de prolongation naturelle le Canada des États-Unis. Cette ligne mince lui semblait être un obstacle possible à franchir. Les mesures nautiques et les temps géologiques semblaient alors des unités plus adaptées à sa situation : les nouveaux mondes appelaient de nouveaux instruments. Il préférait choisir l’apprentissage sauvage, son corps et le sol sous ses pieds comme seules certitudes. Une série de petites et grandes révolutions avait façonné ce paysage, fait naître passages mensongers, pentes dangereuses et chemins bordés de mauvaises intentions. Il avançait sans espoir et avec conviction, suivant une obsession qu’il avait encore la liberté de poursuivre. »